Pour les matheux, l’accélération est la variation positive de la vitesse. Pour un sportif, c’est surtout un critère essentiel pour performer. La capacité d’un athlète à surpasser rapidement l’inertie pour passer de l’état statique à sa vitesse maximale est crucial. Dans cet article, je vous explique les facteurs qui influencent notre capacité à accélérer.
La position de départ
Chaque sport requiert des positions de départ différentes en fonction des sollicitations de son environnement. Prenons trois exemples : le sprinter en athlétisme, le libéro au volley-ball et l’ailier au football. Ces trois postes demandent aux sportifs une vraie qualité d’accélération pour atteindre leur objectif, mais dans trois positions de départ différentes. Le premier est complètement statique, le second en position semi-fléchie et le dernier en mouvement. Ce paramètre est un postulat de base à l’activité. La seule façon de l’améliorer est de travailler le placement technique pour la position statique et semi-fléchie. Concernant la 3ème position (en mouvement), la conjugaison d’une technique de course efficiente et d’un bon sens du timing vous fera progresser.La force
D’autres facteurs jouent un rôle dans notre capacité à accélérer : la force en fait partie. En plus de votre vitesse, un gain de force aura un effet positif sur votre puissance (Force x Vitesse = Puissance). Tous les groupes musculaires prennent part à une accélération globale du corps. Un travail musculaire global vous sera donc utile pour améliorer votre accélération. Le groupe des muscles profonds – ceux qui permettent une bonne posture – apparaît comme le plus important d’entre eux, car ces derniers permettent un appui fort et peu déformable à la mise en mouvement des bras et la poussée des jambes. Des pratiques telles que le pilates aident à travailler ce groupe en particulier.La souplesse et la coordination
Une fois que vous avez travaillé les deux premiers facteurs, ne vous arrêtez pas en si bon chemin. Deux axes complémentaires vont vous aider à améliorer votre accélération. Il s’agit de la souplesse et de la coordination. Plus de souplesse, c’est s’assurer de l’amplitude élevée de ses mouvements : une force mieux utilisée en somme. La coordination entre vos jambes et vos bras vous aidera à passer plus rapidement de la position de départ à la position finale, pour atteindre votre vitesse
Une fois que vous avez travaillé les deux premiers facteurs, ne vous arrêtez pas en si bon chemin. Deux axes complémentaires vont vous aider à améliorer votre accélération. Il s’agit de la souplesse et de la coordination. Plus de souplesse, c’est s’assurer de l’amplitude élevée de ses mouvements : une force mieux utilisée en somme. La coordination entre vos jambes et vos bras vous aidera à passer plus rapidement de la position de départ à la position finale, pour atteindre votre vitesse
Mettez-le en pratique !
Vous ne savez pas par où commencer : rejoignez-moi sur Twitch tous les mercredis soir lors d’une séance en live dans laquelle nous aborderons cette thématique ! Pour vous inscrire à la séance du mercredi 7 juillet à 19h : c’est ici.
Vous ne savez pas par où commencer : rejoignez-moi sur Twitch tous les mercredis soir lors d’une séance en live dans laquelle nous aborderons cette thématique ! Pour vous inscrire à la séance du mercredi 7 juillet à 19h : c’est ici.